Le préambule de cette enquête, réalisée auprès de 3 000 Français et Françaises (de 18 ans et plus), rappelle des faits importants : le pays a traversé, avec le Covid, une période de crise profonde, à la fois sanitaire, économique et sociale. Le tout, sur fond de restriction des libertés individuelles. Ce type de période est sujet à certaines incidences, notamment à l’augmentation des addictions.
Quand toutes les autres addictions majeures (alcool, cigarette, sucre, cannabis) voient la dangerosité qu’elles représentent augmenter dans la perception des sondés, la vape s’en sort avec honneur.
Aujourd’hui, 90% des Français sondés considèrent la cigarette comme un produit “plutôt dangereux à très dangereux”. Tant mieux. La vape pour sa part hérite de 59% sur ces mêmes critères. Les études poubelles financées par différents lobbys anti-vape ne passent plus si facilement aux yeux du grand public. Premier enseignement.